Il y a une indication de traitement de fond de la migraine lorsque la fréquence des crises dépasse 2 à 3 crises par mois et/ou que les crises entrainent une gène sociale ou professionnelle. Son but
Traitement de réference de la crise migraineuse. Plusieurs molécules sont disponibles : Almotriptan, Elétriptan, Frovatriptan, Naratritan, Rizatriptan, Sumatriptan, Zolmitriptan. De nom commercial dans l’ordre : Almogran, Relpax, Isimig, Naramig, Maxalt, Imigram, Zomig. Mécanisme d’action :
Le traitement de la migraine comprend 2 parties : le traitement de la crise et le traitement de fond. Le traitement de la crise migraineuse. Actuellement le traitement de de la crise utilise les antalgiques
Anti inflammatoire non stéroïdien (AINS) Il lutte contre l’inflammation et la douleur, fait baisser la fièvre et fluidifie le sang. Il est utilisé chez l’adulte dans le traitement de courte durée des douleurs aiguës d’arthrose, de
Neurostimulation médullaire Introduction : Les neurostimulateurs médullaires sont des dispositifs médicaux implantables concus pour délivrer un courant sur les cordons postérieurs de la moelle. Ils sont indiques dans le traitement de la douleur chronique non soulagée
Indications : – Traitement du trouble dépressif majeur. – Traitement de la douleur neuropathique diabétique périphérique. – Traitement du trouble anxiété généralisée Même si elle n’a pas l’AMM (autorisation de mise sur le marché)
Les opacités cornéennes : Se retrouvent dans la maladie de Fabry et la neuropathie amyloïde. La cataracte : Dans la maladie de Fabry et la maladie de Refsum. L’atrophie optique : Se retrouve dans
Ulcères et mal perforant : Se retrouvent dans la neuropathie diabétique, les neuropathies sensitives et dysautonomiques héréditaires, dans la neuropathie liée à la lèpre. Purpura : Se retrouve dans les cryoglobulinémies et les vascularites. Les
Vous trouverez ci dessous une liste d’agents toxiques utilisés dans l’industrie et potentiellement toxiques pour les nerfs périphériques. Cette liste n’est pas exhaustive. – Acrylamide (agent de floculation) donne des atteintes sensitives des gros nerfs avec
Maladie héréditaire sensitivo-motrice de type III ou maladie de Dejerine-Sottas Débute dans l ‘enfance, la plupart du temps avant l’age de trois ans. Donne une atrophie musculaire des extrémités pouvant s’étendre vers les racines avec
Liée à un défaut génétique sur le chromosome 18, avec modification de la transthyrétine (protéine). La transmission est autosomique dominante. La polyneuropathie est liée à des dépots d’amylose dans les neurones entraînant une atteinte des
Ces deux formes donnent une atteinte des neurones ganglionnaires rachidiens. Elles donnent des troubles de la sensibilité sans atteinte motrice. La pathologie commence dans l’enfance ou avant 30 ans. La forme 1 est de transmission
Neuropathie héréditaire sensitive dysautonomique, de Type 1. HSAN1 Affection autosomique dominante dont l’anomalie génétique est connue permettant de différencier 4 sous types de cette maladie. Les symptômes sont maximums entre 10 et 40 ans. Les
La transmission est autosomique récessive. La mutation se trouve sur le chromosome 9q31 entrainant un déficit du transporteur ABCA1, nécessaire au métabolisme du cholestérol. Caractérisée par: – Une neuropathie asymétriques avec rechute et rémission. – Une neuropathie
Liée à un déficit enzymatique de l’alpha-galactosidase A. Liée au chromozome X. Les plus atteints sont les hommes hémizygotes avec une fréquence de 1/40000. Chez la femme les symptomes sont plus discrets (hétérozygotes) Les symptomes
Maladie a transmission autosomique récessive. Liée à une déficit en une enzyme permettant la dégradation de l’acide phytanique et donc liée à une accumulation de ce dernier. Les premiers signes apparaissent généralement vers 15 ans,
Cette neuropathie, appelée également atrophie musculaire péronière, est une neuropathie de transmission héréditaire. Le mode de transmission, le phénotype et la sévérité sont variables. il en existe 3 formes : – Le phénotype le plus
Elles sont nombreuses : – Atrophie péronière ou polyneuropathie de Charcot-Marie-Tooth (CMT). – Neuropathie amyloïde héréditaire. – Maladie de Dejerine-Sottas. – Maladie de Refsum. – Syndrome de Déjérine-Sottas. – Neuropathies sensitives héréditaires (HSN I et
Installation en plusieurs mois. En général : – les neuropathies métaboliques, – les neuropathies d’origine carentielle, – les neuropathies toxiques, – les neuropathies alcooliques, – les neuropathies des dysprotéinémies (myelome, plasmocytome, cryoglobulémie, gammapathie monoclonale), –
S’installent sur des années parfois depuis l’enfance : – Les polyneuropathies héréditaires. – Les polyradiculonévrites chroniques. – Les polyradiculopathies associées à une gammapathie monoclonale à IgM.
Installation en quelques heures : Essentiellement vascularites (Périartérite noueuse). Le tableau est plutôt une multinévrite avec des atteintes radiculaires ou tronculaires multiples. Installation en quelques jours : – Syndrome de Guillain-Barrè et ses variantes. –
Les neuropathies héréditaires par hypersensibilité à la pression. Les polyradiculonévrites chroniques à rechute.
Deux types d’atteintes neurologiques : les mononeuropathies et les polyneuropathies. Attention ces formes peuvent être associées à une myosite de l’hypothyroïdie responsable de douleurs musculaires et de crampes. Mononeuropathie : La plus fréquente est l’atteinte
Cette complication est rare et se présente sous la forme d’une atteinte sensitivo-motrice avec prédominance de troubles de la sensibilité. Cette atteinte est réversible avec le traitement de l’hyperthyroïdie (minimum 6 mois). A ne pas
Rare, elle réalise une atteinte sensitive en distalité avec sensation de paresthésies au bout des pieds. Le traitement de l’hyperlipidémie entraîne la guérison de la neuropathie en quelques mois.
Liée à une sécretion trop importante d’hormone de croissance. Atteinte nerveuse symétrique, prédominant aux membres inférieures avec paresthésies des pieds voir des jambes. On peut retrouver un grossissement des nerfs en bulbe d’oignons. Si la
Différentes origines sont possibles : Idiopathique : La polyneuropathie distale symétrique à petites fibres. Inflammatoires : Vascularites et Périnévrites. Héréditaires : Maladie de Fabry, Neuropathie sensitive dysautonomique héréditaire de type V, maladie de Tangier, Amylose
Neuropathies diabétiques. La fréquence de la neuropathie diabétique est de plus de 50 % chez les patients atteints de diabète depuis plus de 25 ans. On estime à 100 000 000 le nombre de patients
Agent causal : Due à une bactérie spirochètes du genre Borrelia. Trois espèces de Borrelia sont reconnues pour donner une maladie de Lyme: Borrelia Burgdorferi, Borrelia Garinii, Borrelia Afzelii. Epidémiologie : La maladie de Lyme
Décrite en 1909 par Carlos Chagas. Anthropozoonose parasitaire tropicale endémique dans 21 pays d’Amérique Centrale et du Sud. 18 millions de personnes seraient infectés en Amérique latine. Entre 2 à 3 millions d’individus présenteraient des
Agent causal : Les leptospiroses sont des zoonoses (maladie transmise par un animal) du à une bactérie du genre leptospira. Il existe pus de 130 sérotypes regroupés en 23 sérogroupes La plus fréquente en France
ou fièvre de Malte, mélitococcie. Agent causal : Trois germes de la même famille : Brucella mélitensis, Brucella abortus bovis, brucella abortus suis. Coccobacille gram négatif aérobie asporulé. En France le nombre de cas humain
Neuropathies d’origine infectieuse Trois types d’agent infectieux peuvent être responsables de maniére directe ou indirecte de neuropathie : les virus, les bactéries et les parasites. Neuropathies d’origine virale : Infection à virus herpès Infection par
Polyneuropathie douloureuse avec atteinte oculaire et surdité. Se voit dans les populations défavorisées notamment dans les périodes de guerre. Lié à des carences multiples. S’y associent : – Une polyneuropathie distale douloureuse, – une
Elle est liée à une toxicité directe de l’alcool et de ses métabolites sur le tissu neurologique liée à une malabsorption vitaminique ( compétition entre vit B1 et alccol dans le tube digestif, troubles
Liées à des pathologies de l’excrétion biliaire (cirrhose biliaire, fibrose de la voie biliaire, maladie de Crohn, syndrome de l’anse borgne) ou à un déficit familiale du récepteur de l’alpha-tocophérol. il donne : –
Les manifestations du déficit en thiamine sont : – une polyneuropathie (atteinte de plusieurs nerfs) distale et symétrique avec crampes, brûlures , dysesthésie, troubles de l’équilibre (ataxie). – Une atteinte cardiaque globale avec insuffisance
Liée à d’autres déficits vitaminiques, sa carence isolée est mal décrite. Il semblerai qu’une hyperesthésie à type de brulûres de la plante des pieds soit possible. une glossite et une dermatite de la face
Ce déficit est rare, la vitamine B6 étant très répandue dans l’alimentation. A noter que 3 médicaments l’antagonisent : l’isoniazide, la pénicillamine et l’hydralazine. Signes cliniques : – Lésions cutanées séborrhéïques – Glossostomatite –
Etiologie. La principale cause de se déficit est le déficit en facteur intrinsèque de l’anémie de Biermer. Les pathologies digestives avec malabsoprtions sont également responsables : maladie de Crohn avec atteinte de l’iléon terminale, maladie
Extrèmement répandus dans l’alimentation. Ce déficit est très rare. Il entraine : – Des céphalées, – Des troubles du sommeil, – Une polyneuropathie distale sensitive.
Il existe une interdépendance de l’acide folique et de la vitamine B12. Donne le meme tableau que le déficit en Vitamine B12: Atteinte des nerfs périphériques, slérose combinée de la moelle, encéphalopathie ou troubles psychiatriques,
Cette maladie entraine une malabsorption chonique liée à une intolérance au gluten. Elle peut donner : – une neuropathie périphérique sensitive – une ataxie cérebelleuse ou spinale (slérose combinée de la moelle) – une myosite.
Liées à une carence en nutriments essentielles. Ces neuropathies sont fréquentes dans les pays en voie de développements, les carences étant endémiques. Elles touchent surtout les déficits en vitamines B: B1 (béribéri), B6, B9. Dans
Les principaux médicaments susceptibles de causer une neuropathie périphérique sont : – Les alcaloïdes de la pervenche : Vinblastine, Vincristine, Vindésine, Vinorelbine. – Almitrine – Amiodarone – Analogues nucléosidiques ( didanosine, zalcitabine , stavudine, …)
L’atteinte neurologue périphérique est liée à l’insuffisance rénale et non à la dialyse. La polyneuropathie urémique : Sa survenue est liée à la sévérité de l’atteinte rénale et à sa durée. Le diabète est un
Due à une atteinte des petites fibres A delta et C (Cf nerfs) Définition : Les neuropathies à petites fibres sont des neuropathies affectant les petites fibres somatiques (sensibilité) et/ ou les fibres du système nerveux autonome.
Les nerfs sont formés par les axones de cellules nerveuses (l’axone est un prolongement de la cellule nerveuse). Ces axones sont ou non entourés de gaine de myéline provenant d’autres cellules : les cellules de
Deux pathologies sont susceptibles d’engendrer une neuropathie (formes rares) : L’insulinome (tumeur bénigne ou maligne sécrétant de l’insuline) Le traitement par insuline responsable d’hypoglycémie répétée. C’est une neuropathie motrice et sensitive à prédominance distale (pieds
L’évolution topographique de cette pathologie est dépendante de la longueur des nerfs. Son évolution peut se schématiser ainsi :
Description : L’érythermalgie primaire (EP) ou idiopathique est caractérisée par des épisodes intermittents de rougeur, de sensation de chaleur et de brûlure des extrémités. Ces épisodes sont provoqués par l’effort, la station debout prolongée ou une
– Le muscle grand rond. – Le muscle sous scapulaire. – Le muscle sus épineux.
Le muscle carré des lombes Les muscles du plancher pelvien Le muscle petit fessier. Le muscle moyen fessier Le muscle grand fessier Les muscles piriformes et autres rotateurs latéraux Les muscles adducteurs de la hanche
Le muscle temporal Le muscle masséter Le muscle digastrique Les muscles occipito-frontaux. Douleurs dentaires d’origine musculaire. Les muscles de la face. Le muscle ptérygoïdien latéral Le muscle ptérygoïdien médial Les muscles postérieurs du cou Les
Le nerf trijumeau (rappel anatomique), le V divisé en 3 territoire le V1, le V2 et le V3. Description : Il s’agit le plus souvent d’une femme de
La forme essentielle (sans cause locale) est rare (75 fois moins fréquente que la névralgie du nerf trijumeau). Elle touche plutôt des personnes de plus de 60 ans. La recherche d’une pathologie cancéreuse ORL doit
Névralgies crâniennes, causes centrales et primaires des douleurs faciales et autres céphalées. Vaste ensemble de pathologies variées (diabète, compression, maladie auto-immune….) responsable d’atteintes neuropathiques de la face ou de la tête. La névralgie du trijumeau.
Critères diagnostiques de la nouvelle céphalée quotidienne persistante définis par l’International Headache Society. (Headache Classification Comittee. The International Classification of Headache Disorders : 3rd edition beta versin. Cephalalgia 2013; 33:629-808). Remplace l’ancienne céphalée chronique quotidienne de novo. C’est
Pré orgasmique ou orgasmique elle doit faire rechercher une hémorragie sous-arachnoïdienne ou une dissection artérielle lors des premiers accès. Pré orgasmique : Céphalée bilatérale diffuse, sourde, associé à une contraction musculaire (cou, mâchoires). survenant lors et
Douleur strictement unilatérale, continue pendant plus de 3 mois, associée à un signe dysautonomique ( rougeur de l’œil, larmoiement, écoulement nasal, chute et/ou gonflement de la paupière) du même côté que la douleur. La douleur
Elle est très rare. Elle touche surtout les femmes. La douleur est modérée à sévère. Bilatérale, diffuse. Elle dure de 30 min à 3 heures. Sensation de pression, constriction parfois pulsatile. Réveil provoquée par la
Elle nécessite des investigations poussées car elle peut révéler des pathologies graves: – hémorragie sous-arachnoïdiennes, – hémorragie cérébrales, – thrombose veineuse cérébrale, – un anévrysme cérébral non rompu, – une dissection d’une artère cérébrale, –
Le siège des coups, douloureux et brefs, est variable et la durée est courte (< à 3 sec). Le caractère primaire est la règle.
Elle doit faire écarter une hémorragie cérébrale ou une dissection artérielle des vaisseaux de la tête. Les critères diagnostiques de l’IHS sont : A-pulsatile remplissant les critères B et C B- durant de 5 min
Critères diagnostiques : A. céphalée remplissant les critères B,C,D B. brutale, durant 1sec à 30 minutes C. provoquée par la toux et/ou le Valsalva (expiration forcée bloquée), D. non attribuée à une autre affection. Avant
Il s’agit de céphalées très particulières, rares, dont le traitement est mal connu. Un bilan diagnostic (IRM cérébrale) est nécessaire pour affirmer leur caractère primaire. il s’agit: (a coté la durée de la crise est notée)
Douleur sévère à intolérable située au niveau frontal et temporal pouvant parfois irradiée vers le bas du visage. Crise de type neuropathique avec décharges électriques, brûlures parfois pulsatile. Les crises sont de courte durée, 5
Plus rare que l’algie vasculaire de la face. Ressemblance clinique mais crise plus courte très intense (2 et 30 minutes) et plus fréquentes. Douleur périorbitaire et temporale avec écoulement nasal, sueur temporale, rougeur oculaire, chute
L’algie vasculaire de la face (AVF) est une céphalée caractérisée par des crises récurrentes de courte durée (15 à 180 minutes) de douleurs insupportables unilatérales périorbitaires, associées à un larmoiement, une congestion nasale, un ptosis
Trois formes différentes sont définies dans la classification 2004 de l’ IHS (international headache society). 1-L’algie vasculaire de la face.(AVF) Critères diagnostiques de l’algie vasculaire de la face selon l’IHS A- Au moins cinq crises
Le syndrome des vomissements cycliques (SVC) est un équivalent migraineux mal connu. Le diagnostic de SVC repose sur les critères de l’International Headache Society, en l’absence d’arguments en faveur d’une autre pathologie. Le diagnostic se
Le vertige paroxystique bénin touche, en général, l’enfant entre 2 et 4 ans, exceptionnellement au-delà de 10 ans. Il dure de quelques secondes à une minute. Sa fréquence est variable, d’un accès hebdomadaire à un accès
Le torticolis paroxystique bénin de l’enfant est un trouble fonctionnel rare caractérisé par des épisodes récurrents de torticolis (inclinaison de la tête sur le côté) chez des enfants sains. Il apparaît dans la première année
Touche les enfants en age de scolarisation. Les critéres diagnostiques en sont : – Durée de 1 à 72 heures. – Douleur d’intensité modérée ou sévère. – De caractère sourde ou irritative. – De localisation
Nombre minimum de crises pour le diagnostic Durée de la crise FréquenceDes crises DuréeD’apparition de l’aura DuréeDe l’aura Migraine sans aura 5 24-72 h Migraine avec aura 2
L’aura migraineuse peut ne pas être suivie de céphalée, posant des problèmes diagnostiques difficiles, surtout en l’absence d’antécédent identique. Aura visuelle : C’est la plus fréquente des auras ; elle caractérise la « migraine ophtalmique
L’IHS (International Headache Society) classe les migraines en 4 grands groupes : La migraine sans aura. Critères diagnostiques A. Au moins cinq crises répondant aux critères B à D B. Durée entre 4 et 72 heures
Certaines substances ou médicaments sont responsables de céphalées par leur actions directes (effets secondaires), pour d’autres substances c’est leur absence qui est responsable de la douleur (état de manque). Dans le premier cas,il est difficile
Il est extrêmement fréquent d’avoir des céphalées après un traumatisme crânien et/ou cervical. Elles peuvent survenir même si le traumatisme est mineur. Le syndrome associe : – Des céphalées quotidiennes – Des vertiges – Une
Définitions : C’est une céphalée chronique quotidienne (CCQ) qui affecte des sujets souffrant préalablement d’une céphalée primaire initialement épisodique chez qui l’usage excessif de traitement de crise induit la transformation de l’expression épisodique vers une
Cette céphalée, considérée autrefois comme essentiellement psychogène, est très fréquente puisqu’elle touche entre 30 % et 78 % de la population générale. Le diagnostic est porté après au moins dix épisodes de céphalées. Ces épisodes
Description : La migraine est une douleur de la tête souvent unilatérale, pulsatile (battements douloureux du “cœur” dans la tête). Cette douleur est souvent forte, voir très forte. Elle s’accompagne souvent d’une gène au bruit
Cette céphalée (mal de tête), considérée autrefois comme essentiellement psychogène, est très fréquente puisqu’elle touche entre 30 % et 78 % de la population générale. Le diagnostic est porté après au moins dix épisodes de
Mme X 40 ans vient en consultation pour une douleur de la fesse,de la partie postérieure de la cuisse (zone rouge) des organes génitaux externes et du vagin (dans son 1er tiers). Mme X n’a pas
M X, 85 ans, est hospitalisé en réanimation pour détresse respiratoire aigüe sur pneumopathie. Devant la gravité de l’atteinte respiratoire, il est mis sous assistance respiratoire avec intubation et sédation. Il va bénéficier d’un drainage
Mm X, 65 ans, présentent des douleurs depuis 9 ans au niveau de sein gauche, qui a été reconstruit, dans le dos, et sur la face interne de son bras gauche. Elle décrit de plus
Mme X, 58 ans, a bénéficié il y a un an d’une pose d’implant mammaire à visée esthétique. Quelques mois plus tard elle présente des douleurs du sein, irradiant vers le
M X, 60 ans, a été opéré d’une tumeur pulmonaire il y a un an. Quelques temps après le retour à domicile, M X présente des douleurs du thorax à type de brûlure. Le contact
Mme X, 55 ans, a bénéficié il y a un an de la pose d’une prothèse Maya pour rhizarthrose du pouce droit. Cette prothèse ressemble à une mini-prothèse de hanche, avec une tête sphérique métallique
M X, 28 ans, a présenté, il y a 2ans, un traumatisme de l’épaule avec luxation acromio-claviculaire sévère nécessitant une fixation entre clavicule et coracoïde. Depuis il présente des douleurs très importantes de l’épaule gauche avec
Un certains nombres de patients développent, dans les suites d’une arthroscopie d’épaule, des douleurs du membre supérieur. Cette douleur apparaît dans le mois qui suit l’intervention. En général, la chirurgie est réalisée par 3 points
M X, 47 ans, a été opéré, avec semble-t-il un peu de retard, d’une hernie discale lombaire L4-L5 responsable d’une sciatique aigue hyperalgique avec déficit moteur et sensitif (diminution de la sensibilité et de la force
Mm X, 65 ans, a été opérée d’une prothèse de hanche par voie antérieure il ya 9 mois (une intervention ou l’incision se fait sur la face antérieure de la cuisse (zone verte), la voie la
Mme X, 75 ans, se plaint de douleurs de la cuisse et de sensations de dérobement de la jambe. Mme X a été opérée il y a quelques années d’une prothèse de hanche de la même
Mme X, 70 ans, vient pour les suites d’une algodystrophie de genou durant depuis 15 mois. Cette algodystrophie ou SDRC de type 1 est apparue dans les suites d’une prothèse de genou. Mme X se plaint
Mme X, 75 ans, présente des douleurs de genou droit dans les suites d’une prothèse de genou posée il y a 18 mois. Elle présente des douleurs à l’appui. Une limitation de la flexion du
M X, 65 ans, a été opéré d’un pontage de l’artère principale de la jambe gauche. Elle a été changée par une prothèse depuis le pli inguinale jusqu’à a l’arrière du genou. Quelques temps après une
M. X, 40 ans, a bénéficié d’une chirurgie de méniscectomie interne par arthroscopie de genou il y a deux ans. Quelque temps après l’opération, M X décrit des impatiences nocturnes de cette jambe suivies de l’apparition de brûlure
M X, 45 ans, victime d’une fracture bi malléolaire de cheville opérée il y a 14 mois, présente des douleurs résiduelles importantes limitant la marche et la reprise du travail (le patient est kinésithérapeute libérale).
Mme X, 60 ans, se présente à la consultation avec des troubles de l’équilibre. L’ensemble des examens complémentaires réalisés sont normaux. Ses symptômes sont apparus dans les suites de l’ablation d’un cerclage de rotule, posé
M X, 55 ans, a été opérée d’une arthrodèse lombaire il a 5 ans. Depuis 5 ans le patient souffre en continue d’une lombalgie chronique irradiant vers l’avant de la racine de la cuisse droite, la
Mme X, 60 ans, vient chez le médecin pour douleurs extrêmement invalidantes du cuir chevelu. Ces douleurs sont apparues dans les suites d’une chirurgie pour tumeur cérébrale. Elle décrit des brûlures, associées à des décharges
Mrs. X, 55, had abdominal liposuction 1 year ago. A few weeks later Mrs. X begins to be embarrassed by wearing trousers. Wearing the belt (pants) becomes uncomfortable and then intolerable. Mrs. X has since
Mme X, 58 ans, a bénéficié il y a un an d’une pose d’implant mammaire à visée esthétique. Quelques mois plus tard elle présente des douleurs du sein, irradiant vers le dos (zone rouge). Le
Mme X 40 ans vient en consultation pour une douleur de la fesse et de la partie postérieure de la cuisse (zone rouge), des organes génitaux externes et du vagin (dans son 1er tiers). Mme X n’a
M X, 60 ans, a été opéré d’une tumeur pulmonaire il y a un an. Quelques temps après le retour à domicile, M X présente des douleurs du thorax à type de brûlure. Le contact
Mme X, 55 ans, a bénéficié, il y a un an, de la pose d’une prothèse Maya pour rizarthorse du pouce droit (arthrose de l’articulation de la base du pouce). La prothèse trapezo-métacarpienne (Maya). Cette prothèse
M X, 47 ans, a été opéré, avec semble-t-il un peu de retard, d’une hernie discale lombaire L4-L5 responsable d’une sciatique aigue hyperalgique avec déficit moteur et sensitif (diminution de la sensibilité et de la force
Mme X, 75 ans, se plein de douleur de la cuisse et de sensation de dérobement de la jambe. Mme X a été opérée il y a quelques années d’une prothèse de hanche de la
Mme X, 75 ans, présente des douleurs de genou droit dans les suites d’une prothèse de genou posée il y a 18 mois. Elle présente des douleurs à l’appui. Une limitation de la flexion du
M. X, 40 ans, a bénéficié d’une chirurgie de méniscectomie interne par arthroscopie de genou il y a deux ans. Quelque temps après l’opération, M X décrit des impatiences nocturnes de cette jambe suivies de l’apparition de brûlures
Mme X, 60 ans, se présente à la consultation avec des troubles de l’équilibre. L’ensemble des examens complémentaires réalisés est normal. Ses symptômes sont apparus dans les suites de l’ablation d’un cerclage de rotule, posé pour
M X, 69 ans, souffre d’une sciatique hyperalgique depuis 6 mois. Les différents examens réalisés ne sont pas probants :l’IRM ne retrouve pas de signes francs de compressions au niveau du canal lombaire. Cette sciatique, malgré
M X, 55 ans, a été opérée d’une arthrodèse lombaire il y a 5 ans. Depuis 5 ans le patient souffre en continue d’une lombalgie chronique irradiant vers l’avant de la racine de la cuisse
Mme X, 60 ans, vient chez le médecin pour douleurs extrêmement invalidantes du cuir chevelu. Ces douleurs sont apparues dans les suites d’une chirurgie pour tumeur cérébrale. Elle décrit des brûlures, associées à des décharges
Mrs. X, 55, had abdominal liposuction 1 year ago. A few weeks later Mrs. X begins to be embarrassed by wearing trousers. Wearing the belt (pants) becomes uncomfortable and then intolerable. Mrs. X has